jeudi 16 juillet 2009

Un emploi dans le tourisme responsable ?

Difficile de dire si le marché se prête à ce genre de recherche. Si l'on regarde dans Google, on se rend compte que des recherches ont déjà été faites, notamment sur des sites comme trovit ou des offres d'emploi tourisme responsable sont peut être disponibles dans le Languedoc Roussillon...
A y regarder de plus près, ce sont surtout des responsables qui sont recherchés dans le tourisme, ou, des postes ratachés à des entreprises qui, comme Nouvelles frontières, se présentent comme un acteur partageant avec chacun des valeurs telles que le tourisme responsable. Cela suffit-il à dire qu'un "directeur d'agence locataires gérants" s'intéressera à ce sujet ?
C'est peut être à Jacques Maillot, son pdg, à Pierre Alzon (Dégrifftour) ou à Rachel Picard (Voyages-sncf.com) qu'il faudrait poser la question : peut-on être fortement impliqué dans le tourisme responsable et avoir un poste pertinent dans une grande entreprise du tourisme ?

Un tourisme responsable passe par le respect de l'environnement

S'engager dans la démarche d'un voyage responsable implique le respect de l'environnement local. Il est nécessaire de rappeler qu'à l'heure actuelle, bon nombre de touristes se soucient encore très peu de la vie sauvage. Afin d'éviter les comportements nuisibles, il faut savoir apprécier la nature sans la toucher. De ce fait, veillez à respecter les réglementations en vigueur mises en place par les autorités, surtout des parcs et réserves. Respectez l'équilibre de la nature et évitez de perturber les animaux par le bruit. Essayez toujours de suivre les balisages aménagés dans ces sites protégés pour ne pas écraser les plantes en général rares, voire très rares. Les parcs ne doivent également pas faire l'objet d'une introduction d'espèces étrangères dans le but de ne pas bouleverser l'écosystème. Arrêtez de donner à manger aux animaux afin de ne pas changer leur régime alimentaire et de ne pas les exposer au risque de braconnage. Limitez aussi les contacts avec eux lors de l'observation tout en adoptant un certain nombre de règles de sécurité.

Le respect de l'environnement dans les pays d'accueil se concrétise par la non importation et la non commercialisation des espèces animales et leurs dérivés et parfois les espèces végétales. Sachez que cette pratique interdite favorise l'extinction des espèces, en particulier celles endémiques. Lors de la pratique de la plongée sous-marine, évitez de frôler ou d'écraser les coraux avec les palmes, car ils demandent plusieurs décennies avant de se régénérer. Le respect de l'environnement se réalise aussi par l'adoption d'une attitude responsable pour les déchets. Avant le départ et durant le voyage, faites toujours l'achat de produits les moins polluants. Durant votre séjour, soyez un exemple pour les populations d'accueil dans la gestion des déchets. Utilisez toujours des sacs poubelles avant de les jeter dans les bacs à ordures. Essayez également de laisser les emballages jetables derrière vous. Dans le cas de déchets non recyclables ou non destructibles dans le pays, tâchez de les ramener avec vous. Lors d'un séjour dans les stations balnéaires, cessez de croire que la mer est une poubelle pour ne pas la polluer. De ce fait, évitez de jeter des déchets ou de vidanger les bateaux dans la mer.

mardi 23 juin 2009

Les nominés des Trophées 2009

Les résultats de la 3e édition des Trophées du tourisme responsable sont sortis, une sélection haut de gamme
dont ma sélection perso
Trophée Voyagiste Responsable
•    Terra Nobilis - "Terra Nobilis, comprendre le monde pour le changer"
•    Vision du monde - Un voyage solidaire pour découvrir le vrai Laos.
•    La Route des Voyages - Le visiteur, en partant sur un séjour, porte une action
Pour mémoire, les Trophées sont à l'initiative de Voyages-sncf.com et de sa DG Rachel Picard. Retrouvez Voyageur Responsable sur Twitter : http://twitter.com/voyageurR

Concours Voyageur Responsable et MK2

Le Tourisme en 2050 est un concours de jeune réalisateur, un appel à projet auprès des écoles et formations des métiers du cinéma et de l'audiovisuel et des jeunes de 17 à 26 ans.
L'objectif affiché de ce concours est d'interpeller les jeunes sur l'avenir du tourisme.

Retrouvez, au sein du Jury, outre les Clément Sibony et autres comédiens / réalisateurs, Cécile Martin Phipps de l'ADEME et Olivia Robert, chargée Responsabilité Sociale & Environnementale de voyages-sncf.com

lundi 22 juin 2009

Le respect de la population d'accueil et de ses traditions

D'une manière générale, les touristes peuvent inconsciemment causer des impacts négatifs sur les populations d'accueil. Afin de cesser d'être la cause de ces impacts, il est nécessaire de s'inscrire dans une démarche de tourisme durable, c'est-à-dire responsable. Pour ce faire, il faut connaître et respecter certaines règles de bonne conduite basées surtout sur la notion d'échange et de respect aussi bien de la population d'accueil, de sa culture que de la nature.

Le respect de la population d'accueil et de ses traditions


En s'engageant de respecter les hôtes durant un séjour touristique afin de limiter les impacts négatifs de votre voyage, il est avant tout indispensable de se documenter et de s'informer de leurs cultures et us et coutumes. Cette tâche doit être faite avant chaque départ pour un pays étranger. Elle permet ainsi de se renseigner sur les gestes susceptibles de choquer ou d'être mal interprétés par les populations locales. L'observation des traditions et des pratiques doit constituer le premier signe de respect envers les populations d'accueil. Généralement situées dans les pays moins développés, ces populations ont des coutumes très différentes de celles des pays riches. Pour plus de respect envers les populations d'accueil, il ne faut pas oublier de se renseigner sur quelques mots de politesse. Durant le séjour dans le pays d'accueil, cessez d'avoir à l'esprit le concept « le client est roi », car le voyage est un produit très particulier.

Veillez à ne pas bousculer l'économie locale en offrant des pourboires et des rétributions qui ne sont pas en rapport avec la réalité. La considération des populations d'accueil passe aussi par l'utilisation des services officiels, c'est-à-dire qu'il faut éviter d'alimenter le marché noir. Veiller toujours à faire les démarches dans le circuit légal. Durant un séjour touristique, il faut toujours faire preuve d'humour, de patience et de tolérance. Au lieu d'un ton agressif, essayez toujours d'avoir le sourire en toute circonstance. Il est interdit de profiter de la pauvreté des populations afin de les abuser sexuellement, en particulier les enfants. Etant donné que les objets traditionnels sont sacrés dans la plupart des pays, il est déconseillé de les acheter afin de ne pas appauvrir le patrimoine historique des pays. Il convient également de respecter les lieux de cultes traditionnels et de pratiquer tous les rituels nécessaires avant d'y entrer. Pour votre séjour et vos achats, privilégiez les hébergements et les produits locaux afin de faire profiter les populations des retombées directs de votre voyage.

Tour opérateur MayaExplor

Mayaexplor vous propose des circuits au Guatemala avec une volonté affiché de tourisme éthique : respect de l'humain, des coutumes, de l'environnement et de l'économie. Ce tour opérateur indique respecter le Code Mondial Éthique du Tourisme.
Mayaexplor a été monté par
Thierry Roquet qui est aussi le co-fondateur de l'institut INEPAS, association développant des programmes d'aide sociale dirigés aux populations défavorisées du département de Quetzaltenango.
Concepteur et guide accompagnateur, Thierry Roquet est recommandé par de nombreux guides tels que le Lonely Planet, le Routard, etc...

lundi 15 juin 2009

2ème version du guide du routard responsable paru le 06/05/2009

Fort du succès de la première édition et toujours accompagné de l'expertise de ses partenaires Voyages-sncf.com (dirigé par Rachel Picard), l'ADEME (dirigé par Philippe VAN de MAELE) et le Comité 21 (dont le président est Eric Guillon , Président d'Eco-Emballages, Vice-Président du Conseil National de l'Emballage et membre titulaire du Conseil National des Déchets), les éditions du Guide du Routard publient la deuxième version -étoffée- du guide sur le tourisme durable.

Plus d'info sur le site Voyageons autrement

jeudi 11 juin 2009

Festival Partir autrement, un autre tourisme responsable est possible !

A l'initiative de l'association ABM "Aventure du Bout du Monde", une association qui regroupe près de 4000 adhérents en France, le festival Partir Autement a eu lieu en avril.
Un des films présentés, "L'Orient à Bicyclette" (Alice Goffart et Andoni Rodelgo) montrait un voyage à vélo qui a duré 3 ans pour 44 000 km : ce joli petit film démontre qu'on peut aller très loin sans polluer !

Autres films très intéressants à signaler : "Un chemin de promesse, 6000 km à pied, de Paris à Jérusalem" (Mathilde et Edouard Cortes) et "Solidaridad, métamorphose d'un bidonville" (Stéphane Etienne et Renaud Promies"

lundi 18 mai 2009

Comment s'engager pour la planète ?

Contrairement aux idées reçues, tourisme rime avec protection de l'environnement. C'est ce que les acteurs du tourisme veulent démontrer, en proposant une multitude d'initiatives et d'idées pour la préservation et la protection de l'environnement. Voici quelques usages et pratiques pour promouvoir tourisme et développement durable. Quels sont leurs intérêts et leurs véritables impacts sur notre planète ?

Développement de la région ou de la localité

La valorisation des ressources humaines
Le tourisme peut participer au développement durable d'une région ou d'une localité en sollicitant la main d'œuvre locale, dans la création de nouveaux emplois. Par ce geste, les acteurs du tourisme contribuent à l'accroissement du niveau de vie de la population, qui, par la même occasion voit leurs conditions sociales s'améliorer. Mais n'oublions pas que tourisme est synonyme de gestion hôtelière et maîtrise de langues étrangères : d'où la nécessité de former les nouveaux employés. Une fois la population locale impliquée dans la vie de la région, les exodes urbains se raréfient, engendrant ainsi moins de bidonvilles.
Les acteurs du tourisme peuvent également participer au développement durable d'une région en valorisant l'artisanat local. Les produits finis des artisans et des producteurs locaux seront mis sur le devant de la scène et vendus aux touristes. Pour finir certains établissements hôteliers consacrent généralement un budget à part pour le financement de « microprojet » de développement, comme la construction d'une école ou d'un dispensaire par exemple ou encore l'installation d'un système d'eau potable.

La protection de l'écosystème et de la biodiversité
Les petites localités et bourgades n'ont pas dans la majorité des cas, assez de financement voire pas du tout, pour la préservation et l'entretien de leurs réserves naturelles. C'est là que les acteurs du tourisme interviennent. Habituellement, les résidences et établissements hôteliers rachètent ces réserves et petits écosystèmes privés, les préservant ainsi du saccage des promoteurs et des constructeurs immobiliers. Ceux-ci sont souvent sans scrupules et peu enclins à la préservation de la biodiversité, ainsi qu'à la protection de l'environnement. Des centres d'interprétations et des sentiers sont régulièrement organisés, dans le but de sensibiliser la population sur l'importance de ces réserves naturelles.
Toujours dans cette optique, certains prestataires touristiques privilégient l'utilisation des moyens de transports non polluant, tout en favorisant les activités ayant une relation étroite avec la nature et l'environnement ? C'est notamment le cas des ballades à cheval, des raids en vtt ou encore des randonnées et du camping. Pour encourager la clientèle à n'avoir recours qu'à des moyens de transport moins polluant, certains établissements hôteliers accordent même des petites ristournes, aux personnes qui se sont rendus aux hôtels, via un réseau de transport en commun.


Gestion des ressources

L'utilisation d'énergies renouvelables
L'heure actuelle est à l'utilisation des ressources renouvelables, ne dégageant pas de gaz à effet de serre, des composants très nocifs pour la couche d'Ozone. Ces gaz sont les premières causes du réchauffement climatique. Pour les besoins en électricité, l'utilisation des énergies renouvelables est fortement conseillée. Pour ce faire, les résidences et établissements hôteliers auront l'embarras du choix entre les panneaux solaires et la centrale hydroélectrique.
Les panneaux solaires captent les rayons du soleil, pour les convertir en électricité. Gratuite et abondante, cette ressource d'énergie est non polluante pour l'environnement. La centrale hydroélectrique quant à elle utilise la force d'une chute d'eau ou d'un cours d'eau afin de générer de l'électricité via un générateur central. Même si au départ, l'installation de ce système revient assez cher, l'investissement vaut largement la peine, puisque sur du long terme, l'établissement hôtelier fera des économies conséquentes sur sa facture d'électricité. D'autant plus que certaines installations électriques classiques sont de véritables pollutions pour les yeux.

La récupération d'eau de pluie
Tout comme les rayons du soleil, les eaux de pluies sont abondantes et gratuites. Pourquoi ne pas en profiter, en ayant recours au système de récupération d'eau de pluie. Non seulement pour préserver les nappes phréatiques naturelles, qui rappelons ne sont pas inépuisables, mais pour aidez également à prévenir les risques d'inondation, phénomène très courant durant les saisons de fortes pluies. Sans oublier que durant les périodes estivales, le gouvernement français impose souvent une restriction d'eau, limitant ainsi vos consommations quotidiennes, particulièrement si vous avez un immense parc de verdure ou encore un jardin potager.
Stockées et récupérées dans une cuve ou une citerne, les eaux de pluie sont reliées à votre établissement par le biais de tuyaux d'évacuation. L'eau pourra ensuite être redistribuée dans la maison, selon l'utilisation que vous lui destinez, comme le lavage des voitures, l'arrosage du jardin et des plantes potagères, l'approvisionnement en eaux des toilettes et des machines à laver... Joignez l'utile à l'agréable en optant pour ce système ! Vous faites des économies sur votre facture d'eau, tout en participant à la préservation de l'environnement.


Autres champs d'action

Construction et équipements
La tendance actuelle est au bio-construction. Pour la construction des bâtiments, les entrepreneurs ont dorénavant recours aux matériaux bio et écologiques, réduisant ainsi le taux de pollution. Que ce soient pour les gros œuvres, pour les finitions, pour l'isolation, pour la peinture, ou tout simplement pour le petit bricolage, les bio matériaux sont dorénavant disponibles dans une multitude de variété : bois, terre, pierres, chanvre...Dans le but de limiter l'utilisation des ressources disponibles, il est également recommandé de n'utiliser que les ressources de la région ou de la localité. Les va-et-vient entre le lieu de construction et le lieu d'approvisionnement sont ainsi limités.
En ce qui concerne les équipements des piscines, les systèmes de purification écologiques sont les plus sollicités, particulièrement par tous ceux, soucieux de préserver l'environnement. Ce système a essentiellement recours aux pierres, bactéries et plantes. Bref des piscines naturelles qui n'ont pas besoin de produits chimiques pour leur entretien. Ce type de piscine ne présente pas de risques d'allergies. Certains modèles sont même dotés de magnifiques cascades, favorisant ainsi l'oxygénation de l'eau. Les piscines avec ionisation quant à elles fonctionnent à base de minerais. Ceux-ci empêchent la prolifération des bactéries et des algues et réduisent l'utilisation du chlore.

Gastronomie et gestion de déchets
Difficile de parler de tourisme et de développement durable, sans glisser un petit mot sur la gastronomie. Les restaurants bio fleurissent dans toute la France. Leur succès ? Des plats cuisinés, préparés et mijotés à base de produits locaux naturels. Non seulement, les restaurateurs valorisent la culture culinaire de la région, mais participe également à la préservation de la biodiversité. Mais surtout n'oubliez pas que manger bio est bénéfique pour la santé. Ne consommez que des denrées alimentaires, provenant de l'agriculture ou de l'élevage biologique : des aliments sans produit chimique, pesticide ni OGM. C'est le nec plus ultra pour les adeptes de la cuisine végétarienne. Déguster des légumes de saison bio, tout en participant à la protection de l'environnement.
Pour protéger la planète, pensez également au tri de vos déchets. La sollicitation des centres incinérateurs de déchets, implique une diffusion conséquente de gaz à effet de serre dans l'environnement. D'où l'importance du triage des déchets. Au lieu d'être incinérés, certains déchets sont ainsi recyclés en d'autres objets ou accessoires utilisés dans la maison. L'exploitation des matières premières et des ressources naturelles comme les énergies fossiles (pétrole) est réduite et minimisée. Via le compostage domestique, les déchets organiques peuvent être recyclés, pour ensuite servir d'engrais naturels pour les fleurs, les légumes et les fruits du jardin. Le tri des ordures ménagères est le geste vert d'un citoyen respectueux de son environnement.

samedi 16 mai 2009

Les intérêts du tourisme responsable

L'initiative portant sur une démarche touristique responsable puise ses racines dans la volonté des pays à allier rentabilité économique et protection de l'environnement. A l'aube du troisième millénaire, cette démarche révolutionnaire a déjà su apporter des changements positifs considérables.


Le tourisme responsable : les avantages pour les professionnels du tourisme

La mise en pratique du tourisme responsable rehausse de manière significative le pouvoir attractif du milieu en matière de visite touristique. En effet, cette démarche, alliant efficacement le développement économique et la sauvegarde de l'environnement, suscite l'engouement des visiteurs. A la grande joie des opérateurs touristiques, leur volonté de séjourner dans le pays devient de plus en plus grande. Par ailleurs, le tourisme responsable rehausse l'enthousiasme des employés du fait qu'ils contribuent à une activité noble, soucieuse de l'avenir des hommes et du monde.

Le tourisme responsable est également une démarche saine et sincère. L'enthousiasme des professionnels, comme celui de Rachel Picard, mus par la volonté de préserver l'environnement, accentue de deux fois minimum les publicités portant sur le tourisme. Du coup, les vestiges et patrimoines culturels, la verdure et la magnificence du paysage, agrémentés par la qualité de vie découlant du respect strict et volontaire de l'environnement sont largement mis en évidence. La participation active des professionnels dans la promotion du tourisme vert ne peut être que bien vue et assimilée par les visiteurs et professionnels d'autres pays.


Le tourisme responsable : les avantages pour les visiteurs

La valorisation du tourisme responsable éveille l'enthousiasme et la curiosité des visiteurs. La communication portant sur cette rénovation d'une envergure importante ne peut qu'augmenter le nombre de touristes qui désirent passer un séjour dans le territoire. Constatant l'évolution flagrante dans le pays d'accueil, les visiteurs commencent aussi à adopter une attitude responsable à l'endroit des personnes, du milieu et de l'infrastructure.

Le tourisme responsable favorise également la communication entre les visiteurs et les autochtones. Étant plus responsables, les autochtones sont plus communicatifs. Cette sociabilité répond au désir de faire connaître les progrès qu'ils ont accomplis avec cette démarche révolutionnaire. De leur côté, les visiteurs sont plus à l'écoute de ses hôtes. La sociabilité se trouve plus grande et les touristes peuvent même participer, voire sponsoriser les projets et activités liés au développement du pays. Enfin, les visiteurs ne peuvent pas ne pas passer un séjour agréable dans le pays où l'environnement et la beauté du paysage sont mis en valeur. De cette visite, ils tirent une grande expérience et tâcheront de suggérer le tourisme responsable dans leur propre pays.

lundi 11 mai 2009

Le tourisme responsable selon Wikipedia

http://fr.wikipedia.org/wiki/Tourisme_responsable

Thomas Cook, partenaire de Planète Urgence

Thomas Cook a renouvelé pour la 3eme fois son soutien au programme de reforestation en Indonésie en partenariat avec l'ONG Planète Urgence.
Le principe : 1 voyage acheté = 1 arbre planté. Chaque client a reçu un "certificat de plantation" par email.
Thomas Cook affiche sa volonté de s'inscrire dans la démarche actuelle de tourisme responsable et souhaite impliquer ses clients mais aussi ses collaborateurs, via la mise à disposition de contenus dédiés (un livret du Voyageur Responsable), et d'outils à vocation éco-responsables, tels que le moteur de calcul des émissions de CO2.

http://blog.thomascook.fr/2009/04/tourisme-responsable/

jeudi 7 mai 2009

Green club

Un site lancé l'été 2008, Green Club se présente comme le guide de l'écotourisme en France.
A la fois guide touristique et portail communautaire ouvert à tous, il fait la promotion du tourisme durable et de l'écotourisme en France.
"Loin d'être une forme de tourisme réservée à une élite, l'écotourisme doit se démocratiser car c'est la garantie de voyages toujours différents et enrichissants."

Les acteurs du tourisme responsable

S’engager à respecter l’éthique : une charte Ethique du Voyageur pour un tourisme responsable

Imaginée par l’agence ATALANTE, la charte Ethique du Voyageur fut publiée pour la première fois en 1996. Il s’agit d’une brochure de sensibilisation comportant des recommandations qui s’adresse aux Voyageurs en vue d’un tourisme responsable. A travers la charte Ethique du Voyageur, ATALANTE se propose d’informer les voyageurs sur certaines éthiques à prendre en compte et non d’émettre une quelconque interdiction. Dans sa mission de conscientiser les voyageurs sur le tourisme responsable, cette brochure véhicule l’idée selon laquelle chaque être peut contribuer personnellement à la sauvegarde du peuple et de la nature en essayant de comprendre ceux qu’il rencontre.
Notons qu’à l’instar de la charte Ethique du Voyageur, l’Organisation Mondiale du Tourisme a élaboré le Code mondial d’éthique du tourisme qui fut adopté par son assemblée générale en 1999.

Des acteurs touristiques ont participé à la diffusion de la charte Ethique du Voyageur

Opérateurs touristiques et associations se sont donnés la main dans le souci d’assurer une large diffusion de la charte Ethique du Voyageur. C’est ainsi qu’en 1997, l’éditeur du guide de voyage Lonely Planet prit l’initiative de la publier en association avec ATALANTE. Puis, en 2006, les membres d’une association appelée Agir pour un Tourisme Responsable ou ATR ont pris part à la diffusion de la charte Ethique du voyageur, suivi, sous l'impulsion de sa directrice Rachel Picard, par le site Voyages-sncf.com en 2006.

Les principaux acteurs du tourisme responsable

Plusieurs associations et opérateurs touristiques partagent la conviction de s’engager dans le tourisme responsable. Parmi les acteurs les plus fervents, nous pouvons citer le site Voyage-sncf.com, l’agence de voyage Chemin de sable et l’association Agir pour un Tourisme Responsable (ATR qui a été créée en mars 2004 à l’occasion du Salon mondial du tourisme. Par ailleurs, plusieurs clubs de voyageur de l’ATR comme ceux du Tourisme d’aventure, du Tourisme sur mesure et du tourisme solidaire affirment leur engagement dans le tourisme responsable. Enfin, une association connue sous le nom de Citoyens de la Terre promeut des activités de tourisme et solidaires en Provence.

jeudi 16 avril 2009

Etude Voyages-sncf.com et Guide du routard

Retrouvez une étude présentant un état des lieux de la perception du tourisme responsable par les Français : près de 9/10 voyageurs sont intéressés par le concept... 8/10 déclarent vouloir agir, mais seuls 16% d'entre eux sont passés à l'acte !

Par contre, l'étude montre que les idées reçues restent importantes : un tiers des voyageurs pense toujours que le tourisme responsable coûte plus cher !

Et surtout, près de 6 Français sur 10 confondent encore voyage responsable et bénévolat (ou séjour humanitaire)

Cette étude a été menée à l'occasion des trophées du Tourisme responsable : http://www.ethisme.com/Tourisme-responsable-en-perspective_a652.html

Pour mémoire, les trophées sont à l'initiative de Voyages-sncf.com qui s'est engagé pour un tourisme plus responsable par l'impulsion de sa directrice Rachel Picard

lundi 9 mars 2009

Tourisme responsable, kesaco ?

Le blog du web solidaire nous donne des éléments de réponse sur le tourisme responsable : enjeux sociétaux, sociaux, environnementaux et économiques...

Rachel Picard, Voyages-sncf et le tourisme responsable

3e édition des trophées du Tourisme Responsable lancée par Voyages-sncf.com.
"Le Comité de Sélection se réunira mi mai pour élire les heureux nominés"

Rappel du bilan de l'année précédente : Rachel Picard, DG de Voyages-sncf, revient sur ces impressions (soirée remise des trophées)

La fiche de présentation de Rachel Picard sur le site de Voyages-sncf

Le site dédié : Voyageur Responsable